Octobre m’apparaît comme un parc solitaire : – Les mûres frondaisons commencent à brunir, – Et des massifs muets monte une odeur légère, – Cet arôme plus doux des fleurs qui vont mourir (Anatole Le Braz)

Octobre m’apparaît comme un parc solitaire : – Les mûres frondaisons commencent à brunir, – Et des massifs muets monte une odeur légère, – Cet arôme plus doux des fleurs qui vont mourir (Anatole Le Braz)
Quelqu’un s’assoit à l’ombre aujourd’hui parce quelqu’un d’autre a planté un arbre il y a longtemps (Warren Buffet)