Finalement, être mobile, c’est à la portée de tout le monde. Il faut avoir de l’imagination pour vivre immobile (Luc Jacquet)
Grand Cortil
L’étang reflète, – Profond miroir, – La silhouette, – Du saule noir (Paul Verlaine)
Papillon vulcain
La vie c’est comme les papillons, – D’abord chenille dans son cocon, – Et puis un beau jour sortir du coton, – Se retrouver en plein soleil, – Bâiller en déployant ses ailes, – Et s’envoler (Louis Chedid)
Rue de la Bruyère
Étendus tous les deux, au niveau des pâquerettes, – Le regard plein de ciel, ta tête au creux d’mon bras, – Ivres morts de soleil, de parfums de caresses, – Laissons-nous emporter, ùù l’amour le voudra (Claude Nougaro)
Lac de Genval
Au temps des amours, – Nos fées, nos princesses, – Brisaient tour à tour, – Leurs tendres promesses, – Elles, tout en blanc, – Et nous le coeur en deuil, – On riait pourtant, – Une larme a l’oeil (Adamo)
Rue du Bois Pirart
Larmoyant abandon de la nuit, – De larmes de sang le jour bénit, – Pleurant la sérénité d’un état alangui, – L’aube affligée s’en remet à la vie (Delphine Lamotte)
Buse variable
Oiseaux, volez aux clochers, – Aux rochers, – Au précipice, à la cime, – Aux glaciers, aux lacs, aux prés, – Savourez, – La liberté de l’abîme ! (Victor Hugo)
Rue des Bleuets
Pourquoi les jolis nuages, – S’en vont faire des voyages, – Aux pays lointains que je ne connais pas, – Pourquoi les oiseaux reviennent au printemps, – Ils se souviennent du petit nid, – Qu’ils avaient fait sous mon toit (Gigliola Cinquetti)
Château de Rixensart
Qui a plus de toits a plus de neige (Proverbe persan)
Ferme de Woo
A voir la ferme au loin monter avec ses toits (Emile Verhaeren)
Lac de Genval
Tourne ton visage vers le soleil ainsi l’ombre restera-t-elle derrière toi (Proverbe touareg)
Rouge-gorge
Monsieur Rouge-gorge, – Souffrez qu’on vous interroge, – Me donneriez-vous pour l’école, – Votre cache-col ? Avec toutes ces plumes-lа, – Vous n’ devez pas avoir bien froid (Anne Sylvestre)
Lac de Genval
Le lac habillé d’hiver se brise en mille éclats de diamants de banquise (Sylvie Demagnez)
Avenue du Lac
C’est la beauté sans mot qui transforme un instant, – À genoux dans la glace, laissant faire ce qui doit, – Je garde en moi le chaud, la saveur du présent, – De ces moments de grâce qui fut vous qui fut moi (Zaz)
La Lasne
Manteau blanc d’hiver couve tapis du printemps vert (Taha-Hassine Ferhat)
Vallée de la Lasne
Dans la blanche cérémonie, – Où la neige au vent se marie (Gilles Vigneault)
Sentier du Val du Héron
Qu’il est doux, qu’il est doux d’écouter des histoires, – Des histoires du temps passé, – Quand les branches d’arbres sont noires, – Quand la neige est épaisse et charge un sol glacé ! (Alfred de Vigny)
Lac de Genval
Meringue : pâtisserie très légère, faite d’un mélange de blancs d’oeufs battus en neige et de sucre en poudre.
Lac de Genval
« Nom d’un glaçon », se dit le canard / « Il fait un vrai froid de moi ! » / On dit toujours un froid de canard / Et les pingouins trouvent ça bizarre (Anne Sylvestre)
Avenue de Merode
De l’union des libertés dans la fraternité des peuples naîtra la sympathie des âmes, germe de cet immense avenir où commencera pour le genre humain la vie universelle et que l’on appellera la paix de l’Europe (Victor Hugo)
Yachtclub de Genval
Hivernage
Promenade Paul Harris
En octobre, quand l’or triomphe en son feuillage, – Mes pas larges encore, quoique lourds et lassés, – Souvent ont dirigé leur long pèlerinage – Vers cet arbre d’automne et de vent traversé (Emile Verhaeren)
Terfosse
La musique on l’écrit sur cinq lignes parallèles, – Des traits horizontaux qu’on appelle une portée, – On pose dessus des points qui ressemblent aux hirondelles, – Sur les fils électriques quand l’automne est arrivé (Pierre Perret)
Tournesol
Lumière et mouvement / Derviches tourneurs / L’été s’envole (Eric de Séjournet)
Abeilles
Permets aux abeilles de butiner sur les fleurs de ton jardin : les fleurs appartiennent plus encore aux abeilles qu’à l’homme (Pythagore)
Ecureuil
On entendit dans le vent, – Un doux refrain (Hugues Aufray)
Carpu
La frissonnante libellule, – Mire les globes de ses yeux, – Dans l’étang splendide où pullule, – Tout un monde mystérieux (Victor Hugo)
Bernaches du Canada
Mon dieu faites moi un oiseau que je puisse m’envoler loin loin d’ici (Forrest Gump)
Ecureuil roux
Les seuls beaux yeux sont ceux qui vous regardent avec tendresse (Coco Chanel)
Fée du Lac
C’est alors que tu t’endormais, – Moi, doucement je m’en allais, – Bercer mon cœur de ton sourire, – Plein de rêves et de souvenirs, – Et des fées à n’en plus finir (Yves Duteil)
Martin-pêcheur
Enfin le ciel est bleu je vais pouvoir me confondre avec lui (Gilbert Nauwelaers)