La Manteline

Qui regarde dehors rêve, – Qui regarde à l’intérieur se réveille (C. G. Jung)

Val de la Rivière

La solidité maximale d’une chaîne est celle de son maillon le plus faible.  Sans doute est-ce parce que les arbres en ont la connaissance intuitive qu’ils s’aident les uns et les autres sans condition (Peter Wohlleben)

Prairies inondables du Coucou

Il faut boire l’eau en pensant à sa source (Proverbe chinois)

Carpu

Ma mémoire est un panorama : là viennent se peindre sous la même toile les lieux et les sites les plus divers avec leur soleil brulant ou leur horizon brumeux (Châteaubriand)

La Manteline

Par la steppe sans fin, coteau, plaine et vallons, – L’oeil luisant à travers l’épais crin qui l’obstrue, – Pâturent, çà et là, des hardes d’étalons (Charles-Marie Leconte de Lisle)

Rue du Moulin

C’est la saison du recueillement de la terre, son temps de méditation, de préparation (Lionel Boisseau)

La Manteline

Où sont les gros bouleaux, – Comme l’écorce de mon canot, – Je n’en vois plus à la ronde, – Je ferai le tour du monde, – Pour trouver un bouleau (Charles Johnson)

Prairies inondables du Coucou

De rouge, de rose, de violet, de bleu, – Le soleil fait son lit, – La lune lui fait les doux yeux, – Bonne nuit, les petits (Adamo)

Sentier du Carpu

L’arbre à paroles

Vallée de la Lasne

De peuplier en peuplier, – Je ne sais pas pourquoi le voile, – Du brouillard glacé qui m’escorte, – Me fait penser aux cathédrales, – Où l’on prie pour les amours mortes, – Je ne sais rien de tout cela, – Mais je sais que je t’aime encore (Jacques Brel)

Rue du Moulin

Douces collines du Brabant Wallon sous un ciel qui s’effiloche, … – Au loin, la rumeur paisible des villages, – Un chien aboie, des chevaux galopent. – Le vent court sur des vagues de blé, – Il y a des odeurs de feu de bois et de terre mouillée (Chantal Blanchard-Verbiest)

Vallée de la Lasne

Mais après les nuages, – Mais après l’orage, – On voit se lever joyeux, – L’arc-en-ciel dans vos yeux, – Tout est beau comme un mirage, – Quand la vie va mieux (Charles Trenet)

Vallée de la Lasne

Chanson bleue qui me tombe du ciel, – Quand il pleut fait comme un arc-en-ciel, – La couleur dépend de l’heure, – Elle dépend surtout de toi, – Selon que tu viens, selon que tu t’en vas, – L’amour est bleu ou pas (Sacha Distel)

La Manteline

Rêver encor de douceur, – De douceur et de guirlandes, – L’hiver fauche sur les landes (Jean Moréas)

Vallée de la Lasne

Et par les champs de blé, – Sous le soleil d’été, – Prends-moi par la main, – Apprends-moi l’odeur des foins coupés, – Apprends-la-moi jusqu’au matin (Marie Lafôret)

La Lasne

La rivière du silence (Françoise Humblet-Vieujant)

Chapelle Sainte-Rita

Au coeur solitaire du bonheur, – Devenu mon coeur même, – Quelle paix divine en ce jour, – Et quelle plénitude suprême ! Ô le rire adorable d’amour, – De tout ce qui m’environne !  Autour de mon bonheur en fleur, – Une abeille éternelle bourdonne… Elle se clôt doucement et s’apaise, – Mon âme heureuse ; – Elle se tait, – La rose qui chantait (Charles Van Lerberghe)

Vallée de la Lasne

Que les gens ne montrent pas trop d’assurance dans leurs jugements, comme celui qui, dans un champ, estime les blés avant qu’ils ne soient mûrs (Dante)