Un vent frais et léger y parcourt les guérets, – Et roule en vagues d’or les moissons de Cérès, – On y sent ce parfum, cette odeur végétale, – Que la terre échauffée après l’orage exhale (Jean-François de Saint-Lambert)
Un vent frais et léger y parcourt les guérets, – Et roule en vagues d’or les moissons de Cérès, – On y sent ce parfum, cette odeur végétale, – Que la terre échauffée après l’orage exhale (Jean-François de Saint-Lambert)